Il regardait la misérable vu du lac et du champ, pensant à son petit frère, se demandant si il avait réussi à le sauver, ou si tout ça n'avait servit à rien… Puis il se balança en arrière, afin d'être couché sur le dos. Il leva sa main en l'air, comme pour toucher le ciel, même si ce n'était pas son but précis, son but étant de refranchir la porte. Mais comment y parvenir sans alchimie ? Peut être avec les technologies d'aujourd'hui ? (Aujourd'hui étant à l'époque de la guerre mondial). Il ne savait que faire. Son désire était de plus en plus fort chaque jour, de retrouver son frère, le serrer dans ses bras, sentir sa présence… mais rien ne pouvait se faire.
Puis son attention se tourna vers une voiture noir, passant par le petit chemin boueu. Il regarda cette voiture d'un air de fatiguer. Non seulement ça gâchait le paysage, mais le bruit de la voiture l'empêchait de réfléchir. Son regard fatigué, était devenu si perçant, qu'il creva la roue de devant de la voiture. Là Ed eu un air satisfait, un petit sourire au coin de ses lèvre disait : bien fait. Il continua à regarder la voiture, car sa curiosité le poussait à savoir qui conduisait la voiture et qui été transporté, car il s'agissait d'un taxi.
Le 1er homme, le chauffeur, n'avait guère d'importance. Il avait l'air banale. Puis tout à coup le regard de Edward changea d'expression. Un autre homme sortit de la voiture. Un jeune blond aux cheveux court. Il était grand, beau, les yeux bleus azurent. On pouvait facilement identifier la race (comme le disait Hitler) aryenne. Mais ce n'était pas du fait qu'il soi de la race aryenne qui troubla le jeune Elric, mais le fait qu'il ressemblait presque comme deux goutte d'eau à son petit frère. La seule différence qu'il avait, était sa taille qui été plus grande, et ses yeux bleu. Edward ne le quitta pas des yeux, il été stupéfait. Il savait que ce monde était parallèle au sien, mais du point à trouver une personne ressemblant à son frère était pour lui, inimaginable, incroyable…Il voulait savoir si il été comme son frère, il voulait tout savoir de lui. Il voulait l'attraper, l'emmener chez lui, le garder pour lui tout seul. Mais voilà, on ne pouvait pas s'approprier les gens comme ça… sympathiser avec était la seule chose possible. Ainsi il décida d'aller les aider à changer la roue crevée.

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